Je marche, encore et encore sur un chemin forestier et les traces de mes pas humides ou secs vont naturellement marquer un arrêt sans savoir si oui ou non je vais contourner ou m’engager sur ce périmètre quadrilatère qui s’étale avec un raffut silencieux de traces laissées juste avant mon passage…. qu’est-il arrivé là….j’imagine à l’aide de la mémoire des sons qui a été écrit.
Que ces gens là bas, ont pris le soin de me livrer avant mon départ vers cette forêt,
perpétuelle inconnue.
Je le prends, je le chuchote, je le crie, je le conte, je l’aime….
je le contourne à présent pour mieux l’embraser !