La Colombière est un espace mort acoustique, et est donc un lieu où nous pouvons concentrer nos oreilles et d’entendre les différences entre les différents environnements sonores.
Dans ce projet, l’auditeur va sur un voyage sonore qui juxtapose trois enregistrements sur le terrain. La première est directement sur le terrain en dehors de la Colombière, mettant en lumière les sons de la population rurale l’environnement, la plupart du temps sans activité humaine ; le second est d’une colombière travaillant en Normandie, et enfin, le dernier est de Grand Central Station à New York City, où l’auditeur résonnera aux sons de l’environnement urbain, où presque tous les les sons sont générés par l’activité humaine.
En créant ce projet, j’ai été fortement influencé par les travaux de R. Murray Schafer, qui a écrit avec éloquence sur l’historique transition de la soundscape rurales à l’environnement sonore post-industrielle.